Mais l’aspect le plus frappant de cette crise humanitaire, ce sont les difficultés auxquelles doivent faire face les secours et les équipes gouvernementales. Pour atteindre les premiers villages et hameaux – toujours coupés du monde après des éboulements et des glissements de terrain –, il faut compter un minimum de quatre heures de voiture, certains n’étant accessibles qu’après plusieurs heures de marche. Résultat : la route qui mène vers Kounar est encombrée de rochers qu’il faut déblayer, ralentissant fortement les opérations, observe notre envoyée spéciale à Kunar, Margot Davier.
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