En ligne de mire de l’organisation panafricaine figure l’exclusion de la candidature de Tidjane Thiam, écarté de la liste électorale par la justice ivoirienne le 22 avril dernier. Une décision que la RADDHO interprète comme une « instrumentalisation de la justice », pointant une volonté d’évincer certains prétendants à la magistrature suprême.

La RADDHO alerte sur les conséquences d’un tel climat d’exclusion. « Il est impératif que tous les acteurs politiques et sociaux s’engagent dans un dialogue pour parvenir à un consensus fort, notamment sur la question des candidatures de l’opposition », peut-on lire dans le communiqué.

L’organisation rappelle que la Côte d’Ivoire est signataire du Protocole adopté le 18 février 2024 lors de la 37e session ordinaire de la Conférence de l’Union africaine, relatif au droit à une nationalité et à l’éradication de l’apatridie sur le continent. Elle en appelle ainsi aux autorités ivoiriennes à respecter leurs engagements internationaux.

La RADDHO conclut en exhortant la CEDEAO et l’Union africaine à intervenir en amont pour éviter une crise électorale ouverte, appelant à des élections inclusives où chaque citoyen et citoyenne pourra librement exercer son droit de vote.

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