Car le Coran ne se contente pas de parler à l’âme. Il parle aussi à la science.
Les empreintes digitales, mentionnées il y a 14 siècles comme uniques à chaque individu.
La sexualité des plantes, révélée bien avant les botanistes modernes.
La formation de l’embryon humain, décrite avec une précision qui intrigue encore les spécialistes.
La couche atmosphérique protectrice, les phénomènes océaniques, les mouvements des montagnes comme des racines stabilisatrices…
Et maintenant que l’humanité entre dans l’ère de l’intelligence artificielle, pourquoi ne pas ouvrir ce Livre avec un regard neuf ?
Pourquoi ne pas y chercher des clés oubliées qui pourraient accélérer la recherche scientifique, éclairer des zones d’ombre et nourrir l’imagination de ceux qui façonnent le monde de demain ?
Ce que l’Europe considère trop souvent comme un texte religieux réservé aux musulmans, est peut-être un réservoir universel de connaissance, offert à toute l’humanité.
Oui, le Coran a parfois devancé la science moderne. Et si, dans ce siècle d’hyper-technologie et de quête de sens, les chercheurs européens — et mondiaux — acceptaient enfin de croiser la révélation et la raison, ils pourraient transformer leur approche de la science elle-même.
Un texte révélé au 7e siècle qui inspire le 21e ?
Ce n’est pas une provocation.
C’est une invitation à l’humilité, et peut-être à la renaissance du savoir.
Magaye GAYE, Économiste international
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