Dans son discours, il a appelé à l’instauration d’« une presse souveraine, une presse libre mais organisée ; une presse régulée, mais jamais instrumentalisée ».
Le secrétaire général du SYNPICS a ensuite invité le président de la République à saisir l’opportunité de la Journée mondiale de la presse, célébrée le 3 mai, pour poser un acte fondateur. « Que cette journée devienne le symbole d’un nouvel élan pour la presse sénégalaise. Un moment où nous affirmons ensemble notre engagement pour une presse forte, digne et résolument souveraine », a-t-il déclaré.
En remettant les cahiers de doléances, Moustapha Cissé a tenu à rappeler que les revendications portées par le syndicat s’inscrivent dans une vision plus large. « Monsieur le Président, en vous remettant ces doléances, nous n’exprimons pas seulement des revendications, nous partageons une vision. Une vision où le Sénégal, fidèle à son héritage de démocratie et de justice, deviendra un modèle en Afrique et dans le monde pour la protection et la valorisation de sa presse, dans toute sa diversité. Que ce 1er mai 2025 marque le début d’une transformation profonde, où la presse sénégalaise ne sera plus une simple spectatrice des changements, mais un acteur central de leur réalisation », a-t-il ajouté.
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