La plume, la voix et l’image, incluent : les nouveaux styles de  »griotisme moderne », juxtaposés au niveau tabloïde des sphères médiatiques.
Â
La nouvelle tendance de  » Sambay Mbayaane  » est devenue le nouveau  »Took Muy Dox’‘, qu’indique l’impression des nouveaux canaux d’influences.
Â
Attention !!!
Les griots, en principe, sont permissibles de fanfarer, de rythmer, de cadencer, de tambourer, de folkloriser ou de raconter des  »histoires orales  » : C’est la légitimité et la légalité traditionnelles, accréditées par certaines sociétés de la nation.
Â
Pour rappel historique, de SENGHOR à FAYE, des libres plumes, des voix salées et images critiques, n’ont cessé de contrôler l’action des gouvernants.
Â
Sans déséquilibre, la balance a toujours été juste et symbolique. Des dignes fils de la nation combattaient en toute noblesse la tyrannie du pouvoir.
Â
Il appartient au peuple de mettre en solaire ces hauts sommaires de la république. En hissant les valeurs qu’ils ont illuminées au Sénégal, issues de l’éthique.
Â
C’était la tradition de haute dimension, de qualité exceptionnelle, de charme cognitif et de plus qu’une optique d’équilibre et d’équanimité au sein des instances.
Â
Dans cette dynamique, des milliers de productions intellectuelles, balistiques et journalistiques, avaient été lancées par des élites irrésistibles.
Â
Des partisans de l’éthique et d’honnêteté déontologique ont réussi à exalter les dignités des populations.
Â
Ces derniers n’ont jamais été victimes d’arnaque politicienne.
Â
Mais à l’heure actuelle, des millions d’âmes suivent des dizaines d’âmes, détentrices de succès approprié basé sur des matrices de manipulations.
Â
La méritocratie n’est plus au rendez-vous des profils.
Au contraire, la médiocratie déstabilise les sublimes âmes de valeurs.
Â
Au temps, L’éthique et la déontologie s’accouplaient humoristiquement, se régnant dans une vision holistique des distributeurs sociopolitiques.
Â
Mais, à l’état actuel, des faits ont décrypté sans monstration, la nouvelle donne qui s’est transformée en prix issu d’un marketing dit opérationnel d’où l’importance de la psychologie des »Prices ».
Â
SOMMES-NOUS EN BONNE ÉPOQUE
Â
Il s’agit d’une triste époque, enveloppant des excessifs du pouvoir, soumis, vénérés et puis promus par des  » Griots toutologues et porteurs d’illusion  », face à une opposition inaffichable, inassumée, composée d’usurpateurs chroniqueurs, analystes… entre autres.
Â
En mode d’équilibre, c’est un multivers qui globalise des relations sphériques entre tireurs et victimes, face à une société consommatrice d’onirique et d’illusion romanesque.
Â
POÉTISME ET GRIOTISME PLURUCENTRIQUES DES POLITIQUES PARTISANES
Â
L’espace public s’est transformé en industrie de contre-vérité, de manipulation, de calomnie et d’une activité de dégradation des hautes performances.
Â
Des entités pluridimensionnelles créées pour dépourvoir le sens de contrôle de l’action, se sont formées et formalisées, formatant tout esprit critique, détenteur de lumière intellectuelle.
Â
C’est pourquoi les animations sociopolitiques font le tour de l’arc poétisme et griotisme.
Â
Des algarades passionnent des polémistes, une fraction de jeune maternalise les plates-formes web, créant des contenus indigestes, propageant la culture du fourre-tout.
Â
De l’incartade assumée, monopolise l’opinion, favorisant une fracture d’institutionnalisation sociale et acquis sociaux.
Â
Tout cela opportunise un avenir incertain vis-à -vis du standard des valeurs et normes prophétiques.
Â
C’est la nouvelle tendance de politique journalistique, c’est-à -dire : les sacrés genres et styles du journalisme sont utilisés pour des règlements de compte ou pour faire du marketing politique.
Â
À cela s’ajoute du griotisme et du poétisme politiques masqués de figure journalistique.
Â
Au bout du compte, le Sénégal plonge dans un océan inconnu, étant jeune citoyen journaliste, je sympathise à tout ce qui prône  » le peuple souverain  », ayant une ferme intention de couper tout pont de violences ou d’injustice.
Lire l’article original ici.