Le Secrétariat exécutif national (SEN) de l’Alliance pour la République (APR) s’est réuni vendredi pour examiner l’actualité nationale et judiciaire. À l’issue de la rencontre, la direction du parti a vivement condamné les déclarations de la journaliste Ngoné Saliou Diop, accusée d’avoir tenu des propos jugés « graves, insultants et stigmatisants » à l’encontre de la communauté peule.
Â
Selon le communiqué, ces propos, tenus sur la chaîne numérique Sans Limites, traduisent « une haine persistante contre le président Macky Sall » et constituent « une menace pour l’unité nationale ». L’APR a interpellé le procureur de la République, l’appelant à « s’autosaisir avec la même célérité que vis-à -vis des membres de l’opposition », afin que Mme Diop réponde de ses déclarations devant la justice.
Â
Sur le plan judiciaire, le parti a rappelé l’existence de la loi d’amnistie n°2024-09 du 13 mars 2024 et rejeté toute poursuite concernant les événements de 2021 à 2024 sans « abrogation pure et simple » de ce texte. « Il ne saurait être acceptable de diriger des enquêtes discriminatoires contre les Forces de défense et de sécurité, qui ont assuré leur mission régalienne », a insisté le SEN.
Â
L’APR a également dénoncé les « arrestations intempestives » de ses responsables, citant les cas récents du porte-parole adjoint Pape Mahawa Diouf et de la militante connue sous le nom de « Gaïndé Macky ». Le parti exige par ailleurs la libération de plusieurs figures, dont Farba Ngom, Lat Diop et Moustapha Diop, ainsi que la levée des mesures judiciaires visant Ismaïla Madior Fall, Aïssatou Sophie Gladima et Salimata Diop.
Â
Le communiqué évoque aussi des « atteintes graves aux libertés », dénonçant l’enlèvement de l’épouse et des deux enfants du journaliste Madiambal Diagne. Le SEN réclame la libération d’Abdou Nguer, Badara Gadiaga, Gérôme Bandiaky, Abdou Karim Mbacké, Ibrahima Ba et de l’homme d’affaires Tahirou Sarr.
Â
Enfin, l’APR a lancé un appel à « toute l’opposition » pour une grande mobilisation nationale face à ce qu’il qualifie de « dérives dictatoriales du pouvoir ».
Â
Selon le communiqué, ces propos, tenus sur la chaîne numérique Sans Limites, traduisent « une haine persistante contre le président Macky Sall » et constituent « une menace pour l’unité nationale ». L’APR a interpellé le procureur de la République, l’appelant à « s’autosaisir avec la même célérité que vis-à -vis des membres de l’opposition », afin que Mme Diop réponde de ses déclarations devant la justice.
Â
Sur le plan judiciaire, le parti a rappelé l’existence de la loi d’amnistie n°2024-09 du 13 mars 2024 et rejeté toute poursuite concernant les événements de 2021 à 2024 sans « abrogation pure et simple » de ce texte. « Il ne saurait être acceptable de diriger des enquêtes discriminatoires contre les Forces de défense et de sécurité, qui ont assuré leur mission régalienne », a insisté le SEN.
Â
L’APR a également dénoncé les « arrestations intempestives » de ses responsables, citant les cas récents du porte-parole adjoint Pape Mahawa Diouf et de la militante connue sous le nom de « Gaïndé Macky ». Le parti exige par ailleurs la libération de plusieurs figures, dont Farba Ngom, Lat Diop et Moustapha Diop, ainsi que la levée des mesures judiciaires visant Ismaïla Madior Fall, Aïssatou Sophie Gladima et Salimata Diop.
Â
Le communiqué évoque aussi des « atteintes graves aux libertés », dénonçant l’enlèvement de l’épouse et des deux enfants du journaliste Madiambal Diagne. Le SEN réclame la libération d’Abdou Nguer, Badara Gadiaga, Gérôme Bandiaky, Abdou Karim Mbacké, Ibrahima Ba et de l’homme d’affaires Tahirou Sarr.
Â
Enfin, l’APR a lancé un appel à « toute l’opposition » pour une grande mobilisation nationale face à ce qu’il qualifie de « dérives dictatoriales du pouvoir ».
Â
Lire l’article original ici.