« Les agents dits licenciés sont précisément des prestataires, exclusivement recrutés par les collectivités territoriales, bénéficiaires des financements du FERA », précise le document. L’institution explique que « ces jeunes et femmes ont été en effet recrutés par les communes dans le cadre du Programme d’urgence pour l’emploi des jeunes ‘Xëyu Ndaw Ñi’, déroulé sur une durée de trois ans, de 2021 à 2024 ».
Le FERA insiste sur le fait que « ces prestataires sont en conséquence des employés de ces communes. Seulement, leur paiement est assuré par le FERA à travers les conventions de financement signées avec les collectivités territoriales ».
Concernant la fin de ces contrats, le communiqué indique que « les conventions de financement sont arrivées à échéance depuis fin juillet 2024 de même que les contrats de prestation des agents qui y étaient liés ». L’institution souligne que « par conséquent, toute activité menée après cette date est sans couverture contractuelle ».
Enfin, le FERA précise que « les maires de toutes les communes concernées sont informés de cet état de fait », mettant ainsi fin aux rumeurs de licenciements abusifs. Cette clarification vise à rétablir la vérité sur la nature temporaire de ces emplois et le cadre contractuel dans lequel ils s’inscrivaient.
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