Selon lui, « aucun État n’a jamais envoyé des forces armées dans un studio pour empêcher une interview », rappelant que des journalistes ont déjà interrogé des personnalités sous mandat international, comme Joseph Kony en 2006 ou Julian Assange en 2011. Thierno Bocoum juge « dangereux » ce précédent et affirme que « quand les gendarmes entrent dans les studios, c’est la République elle-même qui sort par la fenêtre ». Il appelle à la « libération immédiate et inconditionnelle » de Maïmouna Ndour Faye.
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