À un mois de la reprise universitaire, les étudiants ressortissants de Sédhiou inscrits à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis sont confrontés à une menace d’expulsion. En cause, cinq mois d’arriérés de loyer pour l’immeuble qu’ils occupent. Réunis à Sédhiou lors d’une conférence de presse, ils ont lancé un appel pressant au maire Abdoulaye Diop et aux bonnes volontés pour éviter que cette crise ne compromette leur avenir académique.
Â
Selon El Hadji Cissé, président de l’amicale, « depuis trois ans, nous ne recevons plus la subvention de la mairie qui nous aidait à régulariser nos factures de location. Nous remercions le maire Abdoulaye Diop pour ses soutiens d’alors et lui réitérons notre demande d’accompagnement car depuis cinq mois, nous n’arrivons plus à payer ». Sidou Cissé, un ancien étudiant, alerte lui aussi : « Beaucoup de jeunes étudiants ont abandonné les études à cause de ce problème de logement très contraignant surtout pour les nouveaux ».
Â
Malgré la compréhension du propriétaire, la situation atteint ses limites, souligne Sud Quotidien. Les étudiants craignent que l’absence de solution n’entraîne des abandons massifs, notamment parmi les nouveaux bacheliers orientés à Saint-Louis. Ils rappellent les soutiens ponctuels d’anciens comme Dr Labaly Touré et Salif Sané, mais estiment que seule une relance de l’accompagnement institutionnel, par la municipalité, les élus et le ministère de l’Enseignement supérieur, peut abréger leur calvaire.
Â
Selon El Hadji Cissé, président de l’amicale, « depuis trois ans, nous ne recevons plus la subvention de la mairie qui nous aidait à régulariser nos factures de location. Nous remercions le maire Abdoulaye Diop pour ses soutiens d’alors et lui réitérons notre demande d’accompagnement car depuis cinq mois, nous n’arrivons plus à payer ». Sidou Cissé, un ancien étudiant, alerte lui aussi : « Beaucoup de jeunes étudiants ont abandonné les études à cause de ce problème de logement très contraignant surtout pour les nouveaux ».
Â
Malgré la compréhension du propriétaire, la situation atteint ses limites, souligne Sud Quotidien. Les étudiants craignent que l’absence de solution n’entraîne des abandons massifs, notamment parmi les nouveaux bacheliers orientés à Saint-Louis. Ils rappellent les soutiens ponctuels d’anciens comme Dr Labaly Touré et Salif Sané, mais estiment que seule une relance de l’accompagnement institutionnel, par la municipalité, les élus et le ministère de l’Enseignement supérieur, peut abréger leur calvaire.
Â
Lire l’article original ici.