Chaque hivernage, notre pays ne vit pas la pluie : il subit l’humiliation.
L’humiliation d’un État absent, d’un pouvoir impuissant, d’un gouvernement de stagiaires qui brandit des slogans mais échoue dans l’action.
Depuis vingt ans, les mêmes drames se répètent : quartiers engloutis, familles endeuillées, vies détruites. Ce ne sont pas des catastrophes naturelles, mais des échecs politiques. Les inondations ne tombent pas du ciel : elles coulent des canalisations bouchées par la corruption et jaillissent de l’incurie institutionnelle.
766 milliards engloutis dans un Plan Décennal de Lutte contre les Inondations, et toujours la même noyade nationale. Où est passé l’argent ? Dans les marchés truqués, les circuits opaques et les poches des barons de l’assainissement. Pendant ce temps, le peuple patauge dans la boue et enterre ses morts.
Le rituel de l’indécence
Chaque année, le même spectacle : ministres bottés, caméras alignées, discours soporifiques. Mais derrière l’écran, le néant.
La vérité est implacable : les inondations tuent plus par la médiocrité des dirigeants que par la colère du ciel.
Les exigences de Gueum Sa Bopp
Nous exigeons une rupture immédiate :
• Un plan stratégique national, piloté par une cellule scientifique, financé par nos ressources internes et les Fonds Climat.
• À Touba, un projet-pilote : transformer les bassins de Keur Niang et Darou Rahmane en systèmes d’irrigation. Transformer le drame en solution.
• Une surveillance active des crues : la protection civile ne peut plus se réveiller après le désastre.
Deux ans de Sonko-Diomaye : le mandat de la désillusion
Près de deux ans après l’alternance, le verdict est sans appel : ce mandat est perdu.
• 31 ministres et secrétaires d’État pour zéro impact.
• Libertés verrouillées, justice fragilisée.
• Chômage en flèche, vie chère insupportable.
• Entreprises asphyxiées par la dette intérieure.
• Déplacements coûteux à l’étranger, sans retombées concrètes.
Les Sénégalais n’ont pas voté pour un pastiche du passé, mais pour une rupture réelle.
Alors posons la question : projet Pastef ou simple pastiche ? Hommes d’État ou figurants ? Réédition des comptes ou règlement de comptes ?
Taxation tous azimuts, peuple à genoux
Le vrai procès, c’est celui du quotidien des Sénégalais.
C’est la taxation sans limite, le matraquage fiscal, l’asphyxie du mobile money qui tuent le pouvoir d’achat des Goorgoorlu.
Chaque transaction est devenue un racket, chaque taxe une gifle.
Ce régime a transformé l’espérance en désillusion, l’alternance en pénitence.
Mairie de Dakar : démocratie confisquée
L’affaire Abass Fall est un scandale. Forcer un vote municipal avant la décision de la Cour suprême, c’est piétiner l’État de droit.
Le mandat de Barthélémy Dias doit être rétabli. Tout autre scénario est une fraude politique.
la cruauté sélective :
Nous exigeons la comparution immédiate de Abdou Nguer et Badara Gadiaga, ils ont des otages de Ousmane Sonko
Le show de Sonko à Milan illustre cette confusion entre gouvernance et théâtre.
Pendant que les Sénégalais souffrent, le Président s’offre des ovations à l’étranger.
À l’opposé, le Président Bougane Gueye, avec Tekki, propose du concret :
• Une Banque de la Diaspora reliée aux agriculteurs, pour financer des projets viables et offrir des perspectives réelles aux Sénégalais de l’extérieur.
La tragédie silencieuse des ménages
Le Sénégal traverse une crise profonde :
• 40% de la population vit sous le seuil de pauvreté.
• Une jeunesse sacrifiée au chômage et aux petits emplois informels.
• Éducation, santé, eau et électricité restent des luxes.
• L’inflation étrangle les familles.
• Les femmes, pilier de l’économie familiale, portent seules le poids de la précarité.
Le temps des impostures est révolu
Trop, c’est trop.
Le Sénégal mérite un État sobre, juste et efficace. Pas une mascarade de stagiaires jouant aux justiciers.
Gueum Sa Bopp mènera le combat contre l’injustice, la mauvaise gouvernance et la trahison politique.
Nous dénoncerons les imposteurs, où qu’ils se cachent.
L’Histoire jugera.
Le peuple décidera.
Les cadres de Gueum Sa Bopp « les jambaars »
Contact : Babacar Justin Mbengue +221 78 307 49 89
Senegal7
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