Bien que les contours de la « nouvelle phase » des relations entre Paris et Alger restent encore flous à ce stade, les premiers gestes d’apaisement ont bel et bien été posés de part d’autre de la Méditerranée.
Moins d’une semaine après l’entretien téléphonique entre Abdelmadjid Tebboune et Emmanuel Macron, du 31 mars dernier, premier acte public du début de la détente, le ministre français des
Lire l’article original ici.