À Bouznika, le Parti de la justice et du développement a choisi la continuité en réélisant Abdelilah Benkirane. Pourtant, ce congrès ordinaire s’est tenu dans un contexte de fragilité extrême : hémorragie d’adhérents, tensions internes, difficultés financières. Plus qu’un simple scrutin interne, cette décision trace les contours de l’avenir politique du parti à l’approche des législatives de 2026.

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