Je le constate tristement pour le déplorer amèrement et m’en indigner profondément, nous sommes dans un pays, le Sénégal, où l’on peut publiquement, à visage découvert, sans aucune crainte ni risque d’être convoqué, vouer et trainer aux gémonies, insulter, injurier, affubler des pires noms d’oiseaux le Premier ministre ou le traiter de grand bandit avec en prime, la témérité d’y associer le Président de la République d’un pays ami.
C’est malheureux et pénible de le dire, le Premier ministre et Président du Pastef, en l’occurrence, Ousmane Sonko, est la cible de contempteurs invétérés qui en font leur souffre-douleur, leur tête de Turc.
Le Pauvre, il est devenu le réceptacle de toutes les frustrations et de la grande peur qui habite les « kulunas » que l’on retrouve dans toutes les sphères de l’ancien système.
Il est regrettable de constater que ces gens, jadis reclus parce qu’honnis, reprennent du poil de la bête. La tâche leur est facilitée par les nouvelles autorités qui donnent l’impression de verser dans un certain angélisme politique .
Une révolution se fait sans états d’âme.
« Je n’ai eu de cesse de réclamer la dissolution de l’APR, me souriant peu des cris d’orfraie et des fausses indignations des pseudo chantres, des hérauts sans conviction et des hypocrites défenseurs de la démocratie.
Excellence, Monsieur le Président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye et Monsieur le Premier ministre Ousmane Sonko, je vous renouvelle mon soutien indéfectible et réaffirme mon engagement patriotique pour la réalisation d’une rupture radicale aux seuls profits et bénéfices du vaillant Peuple.
Commissaire SADIO*
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