Une avalanche des critiques acerbes s’est abattue sur le conseil constitutionnel après sa décision retoquant certaines dispositions introduites par les députés Pastef. Mais selon Zahra Iyane Thiam, parler de censure, c’est de la mauvaise foi.
« Après avoir tranché avec autorité les contentieux préélectoraux et garanti des scrutins dans les délais constitutionnels, le Conseil Constitutionnel réaffirme sa solidité en retoquant certaines dispositions introduites par les députés Pastef« , a-t-elle d’emblée écrit sur X (anciennement Twitter).
Parler de censure, poursuit l’ancienne ministre, c’est de la mauvaise foi.
« Vouloir dissoudre cette Institution au profit d’une Cour constitutionnelle sans passer par un référendum, c’est saboter un pilier de l’État de droit« , a-t-elle conclu.
Birama Thior – Senegal7
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