Les parties prenantes au dialogue national qui a été clôturé, ce mercredi 4 juin, sont tombées d’accord sur, au moins, sept points.
« Nous pouvons aujourd’hui nous réjouir d’avoir franchi une étape déterminante. Des consensus importants ont émergé notamment sur la rationalisation des partis politiques, le contrôle du fichier électoral, l’encadrement du financement public des partis, l’inscription permanente sur le fichier électoral, la création d’une Cour constitutionnelle, la dématérialisation du processus électoral et en fin la création d’une commission électorale nationale indépendante« , a notamment déclaré le ministre de l’Intérieur qui a prononcé le discours de clôture.
Avancées majeures…
Selon Jean-Baptiste Tine, ces avancées sont porteuses d’espoirs pour une gouvernance politique plus moderne, plus transparente et plus efficace.
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Points de divergence
D’autres points comme la suppression de l’article 80, le cumul des mandats, le statut du Chef de l’Opposition, la suppression des fonds politiques, la nature du régime n’ont pas fait l’objet de consensus.
Un rapport final sera rédigé et déposé sur la table du président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
Birama Thior – Senegal7
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