Le nouveau Pacte de stabilité sociale a été officiellement signé ce lundi 7 avril entre le gouvernement, le patronat et les organisations syndicales, sous l’égide du Haut Conseil du Dialogue Social (HCDS).
Cette nouvelle version vise à corriger les insuffisances du pacte de 2014, notamment l’absence de mécanismes de contrôle et de suivi.
Les ministres du Travail, Abass Fall, et de la Fonction publique, Olivier Boucal, ont représenté l’État lors de la cérémonie. Les syndicats, tout en saluant la démarche, ont tenu à préciser que la signature du pacte ne signifie pas la fin des revendications sociales.
Mody Guiro, secrétaire général de la CNTS, a insisté sur le fait que des discussions doivent se poursuivre, particulièrement autour des licenciements jugés abusifs et des conditions de travail.
In fine, l’objectif commun est de favoriser un climat de dialogue social durable, tout en restant attentif aux préoccupations immédiates, à court et moyen terme, des travailleurs.
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